photo trouvée sur le net
En ce samedi matin, elle venait de finir sa séance quotidienne de sport. Elle aimait entretenir son corps et ne rechignait pas sur les efforts à fournir. Elle aimait le résultat qu’elle contemplait dans son miroir, son homme aussi, d’ailleurs. Il n’avait de cesse de l’embrasser, de la caresser dès que l’occasion se présentait.
Elle s’empressa de filer sous la douche bienfaisante, qui la débarrasserait de la sueur, lui délasserait les muscles.
Le temps d’enlever ses vêtements, elle laissa l’eau chaude couler dans la cabine de douche, ce qui eut vite fait de l’emplir d’une vapeur tiède. Elle se glissa sous le jet qui arrosa sa peau des mille gouttes d’eau bienfaisantes. Elle attrapa le gel douche parfumé à la violette, son préféré, et se frictionna énergiquement.
Elle poussa un petit cri de stupeur quand elle sentit son homme passer ses mains sur ses épaules recouvertes de mousse puis les faire glisser sur ses seins. Elle se laissa aller contre lui pour goûter pleinement à ces délicieuses caresses que la mousse rendait aussi douce que la soie. Elle posa ses mains sur les hanches de son homme et soupira d’aise quand il se mit à titiller les pointes dressées, tentatrices. Il reprit les seins à pleine main pour les envelopper de caresses. Il couvrait, en même temps sa nuque de baisers sensuels à souhait. Exploratrices qu’elles sont, les mains ne restèrent pas figées à ce seul délice et descendirent le long de son ventre, caressèrent les hanches, se déplacèrent vers le pubis lisse, allèrent à la rencontre de l’intérieur des cuisses où en leur centre, se trouvait la merveille qu’il n’avait de cesse de venir idolâtrer. Ses doigts taquinèrent le bouton de rose et déjà les gémissements de la belle se mêlèrent à la vapeur chaude qui envahissait la cabine de douche. De son bras libre, il entoura la taille de sa belle et la serra contre lui plaquant son sexe dur contre ses fesses. Elle aimait sentir le désir de son homme contre elle. Il lui mordillait le lobe de l’oreille et faisait glisser ses lèvres sur la ligne du cou qu’elle lui offrait en posant sa tête contre son épaule. Les doigts avaient quitté le bouton enflé pour aller visiter son trésor humide.
Puis il la retourna face à lui et la plaqua contre la paroi de la cabine. Il cala ses doigts dans ses cheveux et lui écrasa la bouche d’un baiser fougueux, passionné. Il fouilla sa bouche de sa langue et elle, lui rendant ce baiser charnel, plaqua son bassin contre le sien. Quittant sa bouche, son homme s’agenouilla devant elle et lui baisa le ventre, le pubis, les cuisses puis il retourna s’occuper de l’écrin sacré. Sous le jet des gouttes d’eau qui tombaient sur eux, il la goûta avec délice. Ses gémissements se firent plus intenses quand les doigts de son homme accompagnèrent la langue gourmande. Il savait comment bouger ses doigts sur l’intérieur sensible. Il savait comment l’amener à l’extase.
Elle reconnut la tension qui régnait dans son ventre et se propageait en elle annonçant le moment éclatant. Ses gémissements plus forts maintenant se répercutèrent sur les parois de la cabine quand l’orgasme puissant lui paralysa le corps et lui envahit l’esprit, déclenchant cette éternelle seconde où elle flottait entre le tout et le plus rien. Son homme se remit debout, la prit dans ses bras en l’embrassant passionnément.
L’esprit encore embué par l’orgasme terrassant qu’il venait de lui offrir, elle lui passa les mains dans les cheveux lui rendant ce baiser charnel alors que les gouttes ruisselaient sur eux. Elle quitta sa bouche pour recueillir sur ses joues, ses paupières quelques unes de ces perles d’eau…elle revînt à ses lèvres, les embrassa, les mordilla puis faisant sa bouche caressante, elle glissa au creux de son cou…Avec sa langue, elle joua à récolter les gouttes qui se faufilaient sous le lobe de l’oreille pendant que sa main caressait son torse. Elle alla alors derrière lui et laissa sa langue glisser le long de sa colonne vertébrale alors que ses mains longeaient son torse jusqu’à son ventre. Sa langue reprît le chemin en sens inverse et revînt au creux du cou. Elle se replaça devant lui sans que ses mains ne quittent un instant la peau de son homme. Elle aimait entendre ses soupirs de plaisir quand elle le caressait ainsi. Ses lèvres remplacèrent les mains qui allèrent se placer au creux de ses reins exerçant une légère pression pour l’amener à elle, bassin contre bassin. Elle déposa des baisers par-ci, par-là. Sa langue ne resta pas longtemps sans se manifester à nouveau, elle aimait goûter sa peau ruisselante sous l’eau. Ses mains se plaquèrent sur ses fesses parce qu’elle voulait le sentir, réveillé d’envie, contre elle.
Elle voulait le sexe dressé par le désir, elle voulait le cajoler, l’aimer, le goûter, l’emprisonner.
De baisers en baisers, elle glissa le long de son corps jusqu’à se tenir à genoux devant lui. Elle embrassa le bas ventre et prît dans sa main le membre tendu alors que son autre main alla se poser sur le haut des fesses. Elle fît glisser ses doigts sur la belle colonne de chair et tendît ses lèvres arrosées de l’eau qui coulait encore, vers le gland si doux qui attendait cette délicieuse caresse…
Elle le fît frémir de petits coups de langues savants. Elle fît glisser
entre ses lèvres par encore serrées cette belle érection. Elle les serrerait
quand arrivée à l’extrémité de cette belle colonne de chair, elle déciderait
de revenir vers le gland qu’elle titillerait à nouveau. Son homme posa ses mains contre les parois de la cabine tant le plaisir qu’elle lui procurait le saisît. Il la regarda engloutir son membre tendu et ses sens s’affolèrent. Elle leva vers lui son regard de chatte sensuelle pour voir ses yeux déjà
fiévreux. Elle joua de sa langue et de ses doigts à glisser autour du sexe
chaud, tendu, frémissant sous ses taquineries. A nouveau, il retrouva sa
place dans la bouche accueillante. Elle l’enveloppa, le fît aller et
venir. De ses lèvres, de sa langue, des ses mains, elle savait amener le plaisir de l’homme qui la fixait émerveillé. Elle allait et venait sur ce sexe qui s’offrait à elle. Elle ne laissa pas ses testicules à l’écart, elle alla les goûter elles aussi puis une main posée sur ses fesses, elle revînt engloutir ce membre tendu. Elle le laissa aller au fond de sa gorge puis revenir jusqu’au gland. Et l’avala à nouveau lèvres fermes et serrées sur lui. Elle l’entendait maintenant gémir sous ses caresses buccales…Elle voulait lui donner le même plaisir qui lui avait fait connaître plus tôt…Elle n’était pas avare de caresses plus rapides.
Elle le sentît se crisper. Ah comme elle aimait ce moment où son homme bataillait avec son plaisir devenu trop fort mais qu’il ne voulait pas encore laisser être le vainqueur ! Elle savait faire glisser ses ongles sur la peau du bas du dos pendant qu’elle continuait son jeu d’allers et retours. Elle savait faire sa main ferme pour le plaquer dans sa bouche puis relâcher pour le laisser à peine sortir et rejouer du même rythme sur son sexe prêt à exploser. Ce dernier petit coup de bouche qu’il aimait tant sentir sur sa verge en fusion et elle le sentît se raidir, se crisper. Elle entendît ses râles annonciateurs de son moment de plaisir intense. Alors il s’échappa d’elle et laissa son puissant orgasme s’échapper de lui et venir s’unir aux gouttes d’eau qui ruisselaient entre les seins de sa belle.
Il la releva, plaça ses mains de chaque côtés de son visage et l’embrassa tendrement.
MamzelleMelly…enveloppée par une serviette moelleuse…
>>> Bien sûr, la reproduction de ce texte est interdite. Merci. <<<
Bonjour melly,
Je lis tes textes et petits appartés depuis quelques jours avec toujours le même plaisir…Désolé de ne pas poster plus de commentaires mais je ne cesse d’aimer..Et les images de tes mots se succèdent…Toujours ce plaisir de te lire….:)
Gros bisous
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Comme je suis contente de te lire et ravie de savoir que tu viennes toujours lire mes textes que tu connais déjà.
Ne t’inquiètes pas, un petit mot, un petit coucou, de temps en temps, c’est vraiment appréciable.
Je te fais aussi des gros bisous 🙂
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